1930-1940 / Italy / new towns/nouvelles villes/nuove città

Sabaudia rural town – Lazio, Italy

Città-pontine

Designer – Progettista: Gino Cancellotti, Eugenio Montuori, Alfredo Scalpelli, Luigi Piccinato

Place – Luogo: Lazio, Italy

Year – Année – Anno: 1934

Photo: from magazine “ArchitetturaCittà, rivista di architettura e cultura urbana” n.14/2006 “Città pontine” & windoweb.it

Source: from magazine “ArchitetturaCittà, rivista di architettura e cultura urbana” n.14/2006 “Città pontine”

Pier Paolo Pasolini talking about Sabaudia said: here we are in front of the structure, the shape, the profile of a city plunged into a lagoon light although around there are species of a beautiful Mediterranean vegetation. How we laughed, we intellectuals, of the architecture of the regime (fascista), on the cities like Sabaudia. Yet now we find these cities to be totally unexpected … i feels that are made, as they say a bit rhetorically on a human scale.

Founded as a rural town, Sabaudia gives her back to the sea and overlooks at the pianura pontina and the Circeo National Park, 8000 hectares of plains of ancient forest Selva di Terracina saved in 1934 by the killing. It was supposed to be a service centre for the surrounding countryside. Were laid down the Town Hall, the Church with the Sisters ‘ House, hospital, maternity and childhood, cinema theatre, the Home of the soldiers, the fascista house, hotel, posts and Telegraphs (characterized by blue tiles Savoy homage to Princely House of which the city is named), the carabinieri barracks, the playground, Hippodrome, schools (with library, gym and fencing room), cemetery, in addition to stores, apartment houses, offices and the direction of the Opera Nazionale Combattenti (who edited the Chianciano Terme and the construction of the city), the water, the building for the national security volunteer militia and militia portuaria, now works for the Navy, the slaughterhouse and the covered market. Let us not forget that it was the period of the battle of the grain, of forced ruralisation of agricultural autarky that opposed conceptions that proletarian leaders preferred the concentration in urban and industrial metropolis. Having ripped the deadly swamp ‘ thousands of acres cultivated, moreover, was a victory that neither Roman emperors nor Popes nor conquerors, like Napoleon, had been unable to bear. However the location of the place and its beautiful scenery soon have changed vocation and thus by transhumant shepherds first site and Service Centre for agriculture then became a tourist town and sport.

Italian vocation at equidistance between the extremes unfolds in Sabaudia in an exemplary way and perhaps unsurpassed since then. Despite the plurality and the interweaving of the meanings of the celebrity, city of Sabaudia seems to depend on four grounds for immediate evidence. It is a city that fascist fascism set on his own inclinations and retorica, an ambiguous and fascinating fascism that drove postwar Moravia and Pasolini to choose Sabaudia as hardworking and idleness; it is a wonderful example of a perfect relationship with the landscape, made of antagonism and identification, a relationship in which there is almost more than an echo of Greek and Roman memory, a relationship that feeds the art of painters of the Roman countryside and literary ideas; it is a city of mediation suspended between modernity and tradition, a weak urban system in which the balance is not a result but a premise; it is an open city that transmits an optimistic sense of his unfinished, with whom seeks a projection in the landscape: characters and motifs, these four, totally supplanted by an atmosphere of unrealistic expectation that overturns the metaphysics in a continuous alarm, nervous.
The “forma urbis” of Sabaudia translates the not popular feature of Pontine centers, and established as modern drift of a path cardodecumanico. The great magnet of the Circeo (natural national park), surrealist rather than metaphysical presence, in his sudden break in road polarizes drawing scenes of the city, resulting in the alignment of the two emergencies of the Campanile of the Church of SS. Annunziata and of Littoria-vertical tower, vectors are equivalent in their celebrate the new balance between both religious and political powers, a virtual plane that intercepts the legendary silhouette of isolated promontory pontino. But it is precisely the strength of this collimation that takes away the autonomy brought on the one hand to an unwitting result of landscape painting.
Yet, in spite of everything, Sabaudia remains unique and required. And, for some mysterious reason, it delivery to remember how perfect it is.
It is perhaps the strangeness of nature man’s project of Pontina plane to transform it into the landscape; It is perhaps the goodness of any urban design, always superior in its concrete results the inevitable defects in design and implementation, to ensure that it incorporates time as the top form of consolation.

Pier Paolo Pasolini parle de Sabaudia, a déclaré : nous sommes ici en face de l’hôtel, la forme, le profil d’une ville plongé dans une lagune lumineuse, bien que l’espèce y est une belle végétation méditerranéenne. Comment nous avons ri, nous intellectuels, architecture du régime, sur les villes comme Sabaudia. Encore aujourd’hui ces villes nous les trouvons tout à fait inattendu… croit qu’est faits, comme ils disent un peu pour la forme à l’échelle humaine.

Fondée comme une ville rurale accueille son dos à la mer et surplombant la pianura pontina et le Parc National de Circeo, 8 000 hectares de plaines, de forêts anciennes que Selva di Terracina sauvé en 1934 par l’assassinat. Il était censé pour être un centre de service pour la campagne environnante. Quille a été posée à la mairie, l’église avec la maison des sœurs, hôpital, maternité et l’enfance, salle de cinéma, la casa delle associazioni combattentistiche, la casa del fascio, albergo, postes et télégraphes (caractérisées par l’hommage de Savoie carreaux bleu à la Maison princière, dont la ville est nommée), la caserne des carabiniers, de la Cour de récréation, Hippodrome, écoles (avec bibliothèquesalle de gymnastique et d’escrime), cimetière, en plus de magasins, appartement maisons, bureaux et la direction de l’Opera Nazionale Combattenti (qui a édité la Chianciano Terme et la construction de la ville), l’eau, le bâtiment de la milice volontaire de la sécurité nationale et la milice portuaria, travaille maintenant pour la marine, l’abattoir et le marché couvert. N’oublions pas que c’était l’époque de la bataille du grain, de ruralisation forcé d’autarcie agricole qui oppose les conceptions que les dirigeants prolétariennes préféraient la concentration dans les métropoles urbaines et industrielles. Après avoir arraché le marais mortel “des milliers d’hectares cultivés, en outre, fut une victoire que les empereurs romains ni papes ni conquérants, comme Napoléon, avaient été incapables de supporter. Cependant l’emplacement du lieu et ses paysages spectaculaires bientôt ont changé de vocation et donc par le premier site de bergers transhumants et Centre de services pour l’agriculture puis devint une ville touristique et sport.

Vocation italienne à équidistance entre les deux extrêmes se déroule à Sabaudia dans un exemplaire ailleurs et peut-être inégalée depuis lors. Cet intérêt le fait d’admiration et d’émulation qui secrètes intellectuels d’avant-garde italiennes a démontré durant ces années pour nous, une formation de tendance dans le monde entier représenté avec clarté par l’anthologie « Américain » d’Elio Vittorini, se contredit elle-même à son tour deux sources de la vie méditerranéenne et les règles d’un cadran qui est intemporel dans son se rapporter à des formes éternelles. Malgré la pluralité et l’imbrication des significations de la ville de Sabaudia de célébrité semble dépendre de quatre motifs de preuves immédiates. Est une ville que fasciste fascisme et immoto qui, dans l’hermétisme, définir leurs propres inclinations à retorica, un fascisme ambigu et fascinant qui a poussé l’après-guerre de Moravie et de Pasolini, choisir Sabaudia assidu et Martial qui a récemment déménagé le camerawork inquiet et étonné par Marco Ferreri ; est un magnifique exemple d’une relation parfaite avec le paysage, en antagonisme et identification, une relation dans laquelle il n’y a presque plus un écho qu’un souvenir Roman grec, une relation qui se nourrit de l’art des peintres de la campagne romaine et les idées littéraires ; la médiation est une ville suspendue entre modernité et tradition, une faiblesse du système urbain où l’équilibre n’est pas un résultat mais une prémisse ; est une ville ouverte qui transmet un sentiment optimiste de son inachevé, avec qui cherche une projection dans le paysage : des caractères et des motifs, ces quatre, totalement supplantées par une atmosphère d’attente irréaliste qui renverse la métaphysique dans une alarme continue, nerveuse.
La forma urbis de Sabaudia se traduit par l’antipolarità des centres pontiques à Rome et établi comme moderne dérive d’un chemin d’accès de cardodecumanico. Le grand aimant de la Circeo, surréaliste plutôt que de la présence de métaphysique, dans sa rupture brutale dans la route polarise dessin de scènes de la ville, ayant pour résultat l’alignement des deux urgences du Campanile de l’église des SS. Annunziata et della Torre Littoria vertical vecteurs sont équivalentes dans leur fêter le nouvel équilibre postconcordatario entre religieux et politique pouvoirs-a virtual plan qui intercepte la silhouette légendaire de pontino promontoire isolé. Mais c’est précisément la force de cette collimation qui enlève l’autonomie mis d’une part à un résultat involontaire de la peinture de paysage, pour d’autres choses pas déjà en lui donnant ce qu’il faut.
Pourtant, malgré tout, reste unique et nécessaire de Sabaudia. Et, pour une raison mystérieuse, livraison de se rappeler comment parfait. C’est peut-être l’étrangeté de pontina projet de l’homme de nature à le transformer en paysage ; C’est peut-être la bonté de n’importe quelle conception urbaine, toujours supérieure à ses résultats concrets les inévitables défauts dans la conception et la mise en œuvre, pour s’assurer qu’elle incorpore le temps que la forme supérieure de consolation.

Pier Paolo Pasolini parlando di Sabaudia diceva: eccoci di fronte alla struttura, la forma, il profilo di una città immersa in una specie di luce lagunare benché intorno ci sia una stupenda macchia mediterranea. Quanto abbiamo riso, noi intellettuali, dell’architettura del regime, sulle città come Sabaudia. Eppure adesso queste città le troviamo assolutamente inaspettate … si sente che sono fatte, come si dice un po’ retoricamente a misura d’uomo.

Dal saggio del 2006 “Perché Sabaudia” di Daniela Carfagna:
“Nata come città rurale porge le spalle al mare e si affaccia sulla pianura pontina e verso il Parco Nazionale del Circeo, 8000 ettari di foresta planiziaria dell’antica Selva di Terracina salvata nel 1934 dall’abbattimento. Doveva essere un centro di servizi per la campagna circostante. Erano previsti il municipio, la chiesa con annessa casa delle suore, l’ospedale, la maternità e infanzia, il cinema teatro, la casa delle associazioni combattentistiche, la casa del fascio, l’albergo, le poste e telegrafi (caratterizzata dalle tessere blu Savoia omaggio alla casa regnante di cui la città porta il nome), la caserma dei carabinieri, il campo sportivo, l’ippodromo, le scuole (con biblioteca, palestra e sala scherma), il cimitero, oltre naturalmente a negozi, case di abitazione, uffici e direzione dell’Opera Nazionale Combattenti (ente che curò l’appoderamento e la costruzione della città), il serbatoio idrico, l’edificio destinato alla milizia volontaria di sicurezza nazionale e alla milizia portuaria, opere oggi destinate alla Marina Militare, il macello e il mercato coperto. Non dobbiamo dimenticare che era il periodo della battaglia del grano, della ruralizzazione forzata, dell’autarchia agricola che si contrapponeva alle concezioni che privilegiavano la concentrazione del proletariato nelle metropoli urbane ed industriali. L’aver strappato ‘alla mortifera palude’ migliaia di ettari coltivabili, inoltre, era una vittoria di cui né imperatori romani, né papi, né conquistatori, come Napoleone, avevano potuto fregiarsi. Tuttavia la posizione incantevole del luogo e le sue bellezze paesaggistiche ben presto ne hanno cambiato la vocazione e così da sito per pastori transumanti prima e centro di servizi per l’agricoltura poi, si è trasformata in cittadina a vocazione turistica e sportiva.”

Dal saggio del 2006 “Questioni pontine” di Franco Purini:
“La vocazione italiana all’equidistanza tra gli estremi si dispiega a Sabaudia in modo esemplare e forse da allora insuperato. Quell’interesse fatto di ammirazione e di segreta emulazione che gli intellettuali italiani di avanguardia dimostravano in quegli anni per il mondo statunitense, una propensione rappresentata con didattica chiarezza dall’antologia ‘Americana’ di Elio Vittorini, si contraddice in duplice volgersi alle fonti dell’abitare mediterraneo e alle regole di un comporre che è atemporale nel suo rifarsi ai moduli eterni dell’Accademia. Nonostante la pluralità e l’intreccio dei significati della città la celebrità di Sabaudia sembra dipendere da quattro motivi di immediata evidenza. È una città fascista, di quel fascismo solare e immoto che nell’ermetismo ribaltava le proprie inclinazioni alla retorica, un fascismo ambiguo e seducente che nel dopoguerra spinse Moravia e Pasolini a scegliere Sabaudia come luogo di ozii operosi e che recentemente ha mosso la ansiosa e stupita macchina da presa di Marco Ferreri; è un magnifico esempio di un rapporto ideale con il paesaggio, fatto di antagonismo e di identificazione, un rapporto nel quale si avverte quasi di più una eco greca che una memoria romana, un rapporto che si alimenta dell’arte dei Pittori della Campagna Romana e di spunti letterari; è una città della mediazione sospesa tra modernità e tradizione, un sistema urbano debole nel quale l’equilibrio non è un risultato ma una premessa; è una città aperta che trasmette un senso ottimistico del suo non finito, con il quale cerca una proiezione nel paesaggio: caratteri e motivi, questi quattro, del tutto falsificati da una atmosfera di irrealistica attesa che rovescia la metafisica in un continuo, nervoso allarme. (…)
la forma urbis di Sabaudia traduce l’antipolarità del centri pontini rispetto a Roma costituendosi come la deriva moderna di un tracciato cardodecumanico. Il grande magnete del Circeo, presenza surrealista più che metafisica, nel suo improvviso irrompere nelle quinte stradali polarizza il disegno della città, determinando nell’allineamento delle due emergenze del Campanile della Chiesa della SS. Annunziata e della Torre Littoria – vettori verticali equivalenti nel loro celebrare il nuovo equilibrio postconcordatario tra i due poteri religioso e politico – un piano virtuale che intercetta la sagoma mitica dell’isolato promontorio pontino. Ma è proprio la forza di questa collimazione che toglie autonomia al tracciato riconducendolo per un verso a un esito inconsapevole della pittura di paesaggio, per l’altro conferendogli non già ciò che gli dovrebbe (…)
Eppure, nonostante tutto, Sabaudia rimane unica e necessaria. E, per qualche misteriosa ragione, si consegna al ricordo come perfetta. È forse l’estraneità della natura pontina al progetto dell’uomo di trasformarla in paesaggio; è forse la bontà di qualsiasi disegno urbano, sempre superiore nei suoi risultati concreti agli inevitabili difetti di concezione e di realizzazione, a fare in modo che esso incorpori il tempo come la forma superiore della consolazione”

Francesco Tonini

Leave a comment